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Etre guérisseur

« L’âme de votre âme, c’est la foi. » de Saint Augustin "

Être un guérisseur, c’est connaitre de nombreuses graves maladies, c’est voir partir des personnes, même avec toute l’aide que nous pouvons leur apporter dans notre bienveillance. C’est se trouver devant des situations qui nous demandent de voir au dessus de ce que l’état du patient exprime dans son corps, pour l’aider a clarifier la causse de l’effet de la maladie.

C’est aller en lui pour qu’il conscientise ce qui l’amène a être malade.

Et nous entraine entant que guérisseur dans la conscience des émotions que nous devons garder neutre en nous pour apporter à l’autre une harmonie de conscience qui équilibrera et libérera le flux qui le bloque, pour accompagner une personne en souffrance physique ou psychologique, nous devons avoir un moral ou l’émotion ne peut prendre le dessus, pour éviter certaines certitudes ou renforcement de la maladie avec l’énergie que nous offrons, sur les pathologies que nous traitons.

L’émotion étant le véhicule du flux que nous allons offrir, par la volonté que nous développons, pour aider a guérir la personne, doit être sans apriori, sans condamnation de l’autre si cette maladie qui l’atteint est incurable et ou en fin de vie si la personne arrive trop tard pour que nous puisons réellement l’aider, il nous faut reconnaitre qu’à des moments nous sommes dans l’impuissance.

Un guérisseur doit avoir la foi en son action et un morale basé sur le possible du miracle, tout en gardant à l’esprit le possible de la perte du patient.

Car dans la guérison, les paramètres pour activer la guérison sont liés étroitement avec le patient dans sa personnalité et l’âme, qui elle décide du possible de la guérison.

C’est faire preuve d’humilité devant l’inconnaissable destin qui touchera l’autre et les aides sollicités par nos prières qui relèveront la personne vers un état agissant pour guérir.

70% de la guérison est sollicité par l’envie de survivre, même avec les plus terribles souffrances que j’ai du assister, il y a ce paramètre de volonté de guérir, qui peut augmenter par ce que nous donnerons a vivre au patient pendant des soins énergétiques et notre accompagnement. Prendre conscience de notre responsabilité sur les divers plans Divin.

Être un guérisseur, c’est connaitre de nombreuses graves maladies, c’est voir partir des personnes, même avec toute l’aide que nous pouvons leur apporter dans notre bienveillance. C’est se trouver devant des situations qui nous demandent de voir au dessus de ce que l’état du patient exprime dans son corps, pour l’aider a clarifier la causse de l’effet de la maladie.

C’est aller en lui pour qu’il conscientise ce qui l’amène être malade.

C’est garder la foi malgré la possible évolution de la maladie, c’est se dire que notre mental doit rester ferme sur la guérison, sans entrer aucunement dans une notion d’échec de ne pas pouvoir agir ou dans une volonté de contrôle pour le garder égoïstement avec nous...

Tout en conservant à l’esprit que le patient dans son libre arbitre, dans son âme sans conscience souvent, peut aussi décider d’en finir...

Et donc de le voir partir même avec tout ce qu’on peut donner pour l’aider a vivre.

Comme je l’ai vécu, il y a quelques années de cela ou mon oncle a subitement eu un cancer pulmonaire, que j’ai accompagné pendant 3 ans jusqu’au dernier instant de sa vie ou je me mis a lire la bible et voir apparaitre sur le mur de l’hôpital, la croix de lumière du Christ et en vivant cet instant dans la grâce, de voir mon oncle ouvrir les yeux et d’aller vers lui.

Et ou une fois parti, je lui ferma les yeux, le bénis sur le front et l’embrassa en lui disant repose en Paix tonton.

Il est important de comprendre que dans la bienveillance, surtout quand cela touche par exemple un membre de notre famille, que la personne garde toujours le choix de rester en guérissant, un guérisseur a le don de guérir, tout comme la personne a le pouvoir de rester ou pas pour continuer a vivre.

Depuis toutes ces années que je pratique la guérison, j’ai eu a accompagné des patients vers celle-ci et d’autre vers le passage de la source.

Oui entant que guérisseur nous devons être prêt a recevoir le choix de l’autre!

J’ai eu a accompagné jusqu’au dernier instant des patients pour les monter à la source, et j’ai eu l’occasion de voir des personnes guérir de cancer en stade final...

Dans ce vécu, je dois saisir entant que guérisseur, que le choix ne m’appartient pas et que la responsabilité d’accompagner vers l’état de guérison, l’autre ne m’appartiens pas non plus.

Tout ce décide a un autre niveau, qui est le niveau de la destiné de l’âme.

Être guérisseur, c’est être conscient des limites que nous avons dans nos actions, par le choix d’autrui et être là auprès des patient dans une attente du choix de l’âme.

Car a un certains niveau de conscience, il y a dans le discernement cette possibilité de dialogue directe avec l’âme de la personne, pour aider une personne enfermé dans sa personnalité par exemple, il est possible de communiquer dans un niveau autre que le plan mental, plan de la pensée, de la personnalité vivant son expérience, pour dialoguer avec l’âme qui elle va décider de continuer l’expérience ou de l’arrêter pour diverses raisons.

Être guérisseur, c’est sans remettre au ciel, cette expression est directement lié au choix de l’âme qui dans tous les cas posera la décision de guérir ou pas si l’âme pense que la vie de son personnage a eu de grande difficulté a répondre a sa venue d’apprentissage sur terre.

Parfois les personnes enfermées dans la souffrances n’arrivent pas a réaliser ce qui devait être...

Être guérisseur, c’est avoir cette conscience d’acceptation du libre arbitre, cet accueil du choix de l’âme, est de l’humilité de ce que nous pouvons accorder dans nos actes, pour accompagner l’autre vers le miracle de guérir.

Sébastien

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